Chapitre 23 - fait de guerre

Alerté par les sirènes d'alerte de sa planète citerne, kakashi-hatake compris, trop tard, le cruel destin qui attendait les siens. C'est donc impuissant, qu'il assista au pillage de ses silos de deutérium. "Plus jamais ça!", s'écria-t-il dans une folle rage que trahissaient les tremblements qui agitaient tout son corps. "Qu'on aille récupérer ce qu'il reste et qu'on l'utilise pour châtier les impudents qui ont osé s'aventurer sur nos terres!"
Aussitôt une flotte colossale composée de ses troupes d'élite se rua dans le silence intersidéral à une vitesse presque luminique.
Ce qui fit retentir une nouvelle fois les alertes du pont de commandement du vaisseau amiral d'Apollo. Celui-ci ne pu s'empêcher un léger sourire en coin. Son plan était prêt. D'un geste calme, il ouvrit un port de communication crypté avec Bamboul. Quelques mots simples suffirent : "Seigneur Bamboul, je crois que tu connais la raison de mon appel."
"I'm on my way!" répondit Bamboul, qui se complaisait parfois à s'exprimer dans une langue aujourd'hui disparue.
Les 2 flottes convergeaient déjà vers la planète dont le chemin était connu. Le but : intercepter la flotte d'élite. Mener un combat qui donnerait un avantage peut-être définitif au vainqueur. La lutte serait âpre et l'issue incertaine. Mais les 2 guerriers n'aimaient que trop le goût du glaive pour envisager un échec. Ce serait la victoire. Totale.
Kakashi n'était pas du même sang. A la vue de la puissante flotte, il eut un soupire de découragement. En retournant à ses appartements, il ordonna la retraite et le retour de ses troupes. Il lui faudra trouver un autre moyen. Il laissait donc sa planète, presque sans défense, subir un nouveau pillage. Ce soir là, il dîna seul, une fois de plus. Il ne voulait pas que ses généraux le voit à nouveau subir un tel affront. C'est donc reclus qu'il vécu cette seconde débâcle. Sur ses écrans de contrôle, Apollo, KLZ (qui, par le plus grand des hasards, passait par là et avait donc rejoint ses amis) et Bamboul, triomphants, remplissaient un antique briquet avec le deut restant d'une cuve vidée.
Via une caméra de contrôle encore en état de marche, Apollo adressa à son adversaire du jour un dernier clin d'oeil en allumant son cigare. Quelques bouffées plus tard, il disparut dans la nuit.[/size]

HRP : tu vois Bamboul, quand tu veux tu fais des trucs sympas.



En attendant la mise au clair du décompte des points, je vous laisse savourer cette AG :love:[/quote]